Le handicap et la société, la boîte de Pandore

Nouvel article : Le handicap et la société où la boîte de Pandore.

Le handicap peux toucher n importe qui a n importe quel moment de la vie.
Que ça soit après un accident, une erreur humaine, ou de la malchance. 
Pourtant il n interresse personne, et le sujet est encore très méconnu.
À la décharge de cette méconnaissance, il existe de nombreux types d’handicaps, qu’ils soient physiques, cérébral, visuel.
Et ce qui rend le handicap encore plus difficile à comprendre, c’est que des personnes avec des pathologies semblables comme moi avec l’hémiplégie, je n’aurais pas les mêmes troubles cognitifs qu’une autre personne, surtout si il souffre d’une hémiplégie droite. Et même, d’autres porteurs d’hémiplégies gauches n’auront pas les mêmes symptômes. Car un AVC n’a jamais exactement la même intensité selon les personnes et donc les répercussions physiques et cérébrales seront forcément distinctes.
Pour un non initié, ou une personne qui n’a aucune personne souffrant d’un handicap dans son entourage, nous sommes des bêtes de foire, des spécimens un peu étrange qui effraient autant qu’elles font pitié. Et comme pour les médias, ou les institutions, nous sommes loin d’être une priorité pour eux, nous restons une ombre bien loin des sujets favoris qui rapporte financièrement et qui eux persistent à s’accaparer la lumière comme le corps humain, dans sa parfaite perfection, les étrangers ( qui eux prennent toute la haine des gens en pleine tronche).
Par exemple j’ai proposé bénévolement mes services au rectorat pour animer des sessions de formations sur le handicap, auprès des cadres, afin qu’ils comprennent au mieux tous les enjeux d’encadrer une personne porteur d’un handicap. Bizarrement on ne m’a jamais recontacter et en 13 ans à l’éducation nationale et à la culture, je n’ai jamais vu une formation sur le handicap passé.
Comme si le sujet du handicap devait rester tabou et surtout la difficile question de l’acceptation de la prise en compte des troubles cognitifs au travail.
Dans les médias télévisés , ou dans la presse, les émissions sur le handicap sont invisibles. Quand j’avais participé en 2015 à l’émission Mon partenaire particulier sur m6, j’avais accepté pour deux raisons, car comme je suis touche à tout, je voulais tester l expérience de passer à la télévision mais surtout j’avais beaucoup apprécier la démarche de changer les codes et de montrer des personnes en situation de handicap dans la recherche de l amour.
Même pour les choses les plus simples comme l’Amour, nous galérons 1000 fois plus que le commun des mortels car comme on nous cache, et qu’on est très loin de l’archétype du mari ou de la femme idéale, on nous rejette. Car en plus de faire face a la société, les gens doivent aussi digérer le regard des familles et amis. Ce qui fait qu’au lieu de pouvoir avoir une chance, on est relégué au rang de bon ami plutôt que petit ami potentiel.
Je prends cet exemple pour montrer tout l effet négatif qu’a la méconnaissance du handicap sur nous au quotidien. Nous sommes des personnes dans une absolue précarité, sur le plan humain, affectif, financier car au lieu de faire d’une priorité les questions sur le handicap, on nous laisse les fonds de tiroir.
A quand le handicap dans une place centrale, au buffet à l ‘Élysée ? Pas pour tout de suite il semblerait vu le nombre de livres sur le handicap qui sortent par rapport aux livres de politiques.
Pourtant plus la population d un pays vieillit, plus les chances d’avoir des personnes souffrant d un handicap grandit ?
Combien de temps encore pourra t on nous cacher ?
C est pour ça que comme j’aime écrire, je me permets de rentrer dans la Lumière. 
Pour tenter de faire, ce que la société rebute â ouvrir,
La boîte de Pandore,